Y'a mon dentifrice qui m'éclate en bouche, docteur. (à)

Je m'appelle, je ne m'appelle pas. Pour vous, ce sera un simple pseudonyme, voyez. J'ai horreur de donner mon prénom, de peur de désobéir à mes parents, surtout et pour tout. Je suis âgée de treize belles années, qui n'ont pas toujours eu ce qualificatif, et pour lesquelles dix d'entre elles ont été appliquées à réaliser ma plus grande passion qu'est l'écriture. Je ne fais guère de mauvaise blague en disant que depuis l'âge de trois ans, j'écris. Ca a commencé avec une certaine orthophoniste, qui m'a fait écrire une histoire tout à fait amusante, maintenant que je la relis. Je vis en France, et honnêtement, j'aurai aimé habiter en Angleterre. Oui, ce beau pays, cette langue que j'affectionne énormément, ces gens chaleureux, .. et les garçons sexy, tels qu'Ed, jouant le rôle de Chuck, dans une série à succès. Oui, non, ma meilleure amie m'en a rendu dingue, parce qu'avant, il était pour moi un simple acteur, qu'il est toujours, avec ce bémol en plus. D'ordinaire, la mode me passe au-dessus, les peoples également. M'enfin, j'ai fais exception. Du côté de mes goûts musicaux, franchement, on me pense souvent extraterrestre, parce que je n'aime pas les chanteurs, groupes, à la mode, ou du moins, pas tous. Dans mes préférés se situe Lady Antebellum, que j'ai connu par sa chanson ‘need you now’, dans laquelle j'ai littéralement adoré le clip. Puis quelques chanteurs, chanteuses japonaises. Cette culture est relativement belle, si j'ose dire. Les textes sont écrits dans une immense sincérité. J'aime. Ah la bonne blague, je ne parle même pas du cinéma, normal vu que je dois y aller, ou même voir un film sur ma télévision, une fois par an. Tout de même, 2012 m'a bluffé. Effectivement, le fantastique et l'action ne font pas partis de mon vocabulaire. M'enfin, cette réalisation, ce scénario, splendide, du grand. Ce que j'aime, je n'aime pas ? D'abord, ma famille, c'est ma passion. -out- Plus sérieusement, je ne me verrai pas vivre sans elle. Ensuite, les boulets, les cons, les hystériques, les hypocrites, je leur dis merde. (l) Et pour finir, je ne m'aime pas, mais je l'aime. Oui, lui. Lui que j'aime depuis ma primaire, mais dont mon amour lui a été déclaré récemment, par internet, mon seul moyen de communiquer avec lui. Sans réponse. Normal, je ne suis jamais ce qu'attende les mecs, tellement moche, bien que l'on me dise le contraire, dans mon entourage. Je ne vais pas continuer là-dessus, ça va vite m'énerver. Tête de mule, sociable, réservée, démodée, je me qualifie avec ces adjectifs. Sans confiance en moi, irrégulière, présente sur l'ordinateur quasiment tout le temps, pas sportive, conne, aimable, romantique, putain, ça en fait. Au fond, ce n'est pas à moi de dire comment je suis, mais bien à ceux qui m'entourent, parce que je peux être totalement différente. Il m'arrive de faire ressortir mon grain de folie, bien que ce soit rare. En résumé, je suis une fille imprévisible.

Pour moi, la vie, c'est une suite d'emmerdes. D'abord, par combien de bahuts j'ai dû passer ? Cinq ? Ensuite, super rentrée de quatrième, j'espère que celle qui s'annonce sera meilleure, étant ma dernière année au collège. Oui, l'année dernière, il a fallu qu'une pétasse, pardon de la vulgarité mais c'est le mot le plus approprié, m'insulte sans raison, sous aucun prétexte, en salle de sport, quasiment le premier jour. Genre elle se pointe, elle me dit ‘sale pute’, et elle se casse. Ca m'a monté les nerfs contre elle. Ensuite, ce n'est pas la fin. Elle cherche à m'enlever mes amis, d'ailleurs elle a réussi son coup. Deux d'entre elles sont passées de son côté, pour dire. Franchement, moi, je dis merde, encore. Toujours merde. Si c'est ça la vie, je ne comprends plus rien, alors que certaines personnes se la dorent au soleil, font du shopping. Vraiment, pas ce que je fais, parce que mes réels amis se comptent sur les doigts de la main, et qu'elles habitent loin. Chanceuse ? Fuck. x) Dieu ne m'a pas épargné, comme on dit. Je pourrai facilement me faire surnommer l'incomprise, et toutes mes heures devant l'écran, c'est une alarme. Oui, je les passe parce que c'est qu'ici que je suis intéressante, que je peux être comme je veux, que j'ai des amis, du moins, des amis du net. Là, c'est comme si ma vie changeait, qu'elle passait du noir, au rose. Sincèrement, ça fait du bien.

Effectivement, ce que j'ai pu dire m'a miné le moral, je préfère en rester là, si cela ne vous dérange pas. En espérant quand même ne pas vous avoir dépités vous aussi, j'en serai peinée. D'ailleurs, bon courage d'avance pour mes écrits, qui sont aussi tristes, et bien plus. Moroses, comme j'ai envie de dire. J'apporterai la bonne humeur à ma façon, si je puis me permettre. En vous souhaitant une bonne fin de journée, et une excellente soirée.